| Antrag: | Pourquoi l’UDC met en danger notre liberté et notre démocratie |
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| Antragsteller*in: | Darius |
| Status: | Geprüft |
| Verfahrensvorschlag: | Modifizierte Übernahme (Erklärung: Le CD entend que ce point argumentatif manquait de contexte dans la version initiale. Il estime néanmoins qu’il est important de le maintenir, d’où l’ajout de davantage de contexte. Pour ce qui est des contraintes pesant sur les journalistes, il est vrai qu’elles existent – comme expliqué dans l’amendement – mais il serait faux de considérer que les journalistes et les rédactions n’ont aucune marge de manœuvre.) |
| Eingereicht: | 10.09.2023, 20:38 |
Les directionsrédactions des entreprisesmédias et les journalistes portent une part de responsabilité dans cette situation. Bien entendu, les médias étant insérés dans un marché capitaliste, les rédactions et les journalistes doivent produire des articles qui permettent de générer des profits - et les positions extrêmes de l’UDC sont responsables aujustement vendeuses. Toutefois, il serait faux de considérer qu’iels ne disposent d’aucune marge de manœuvre. En témoigne par exemple la couverture d’un même titre sondage portant sur les préoccupations de la population par le 24heures et le TagesAnzeiger, le premier média titrant dans sa version papier « En Suisse, on est heureux mais on s’aime peu »[y] alors que le second article s’intitulait « Une Suisse à 9 millions : l’appel à des contingents se fait entendre »- soit exactement le discours de l’UDC. Les rédactions des médias doivent donc prendre leurs responsabilités et cesser de servir de reprendre les journalistesnarratifs de l’UDC. En outre, le Conseil suisse de la presse doit adopter une position plus forte et oser réprimander les médias qui offrent une plateforme
soutiens de l’initiative. Le dispositif suggère ainsi, à tort, que l’UDC défend une position équitablement représentée au sein de la population.
[y]https://www.24heures.ch/en-suisse-on-est-heureux-mais-on-ne-saime-pas-beaucoup-728153068631
Les directions des entreprises de médias sont responsables au même titre que les journalistes. En outre, le Conseil suisse de la presse doit adopter une position plus forte et oser réprimander les médias qui offrent une plateforme
Cette phrase nous semble innutile car d'une par aucune critique prélable n'est fournie envers les directions des journaux mais bien de leurs propriétaires.
D'autre part les journalistes sont des prolétaires soumis aux dictates de leurs rédactions et du système de privatisation de l'information qui existent en suisse.