L’approche pénaliste des violences sexuelles et sexistes est fondamentalement incompatible avec une perspective antiraciste car l’appareil judiciaire est un outil d’exercice du racisme d’État.
Au vu des nombreuses conséquences du système pénal sur la vie des personnes sexisées (victimes, proches des personnes incarcérées…) il est également clair que le système pénal est antiféministe.