Il est important de souligner que tout le monde n'a pas le même accès aux rares places de psychothérapie et qu'il existe des inégalités. Ainsi, il y a une plus grande pénurie de places de thérapie dans d'autres langues que celles parlées dans la région correspondante du pays et les cabinets ne sont par exemple pas accessibles aux fauteuils roulants ou les personnes souffrant d'un handicap mental sont renvoyées vers des expert·es qui sont encore moins nombreuses·eux.
Antrag: | Dérangé·e, folle·fou, cinglé·e — et pas seul·e. |
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Antragsteller*in: | Cybel Dickson et al (JUSO Aargau) |
Status: | Geprüft |
Verfahrensvorschlag: | Modifizierte Übernahme (Erklärung: Nous considérons qu'il est légitime et nécessaire de montrer que les obstacles à l'obtention d'une place de traitement ne sont pas les mêmes pour tou·tes. Cependant, deux facteurs non spécifiques sont cités dans cet amendement, et ce sans source. Ce qui n'est pas spécifique, c'est surtout la mention des personnes handicapées. Il s'agit à nos yeux d'une généralisation. Nous partons bien sûr du principe que les handicaps sont en soi liés à des obstacles, mais il n'est pas rare que ceux-ci diffèrent fondamentalement dans leur nature. L'exposé des motifs parle de handicaps physiques et "mentaux" - les handicaps psychiques, par exemple, ne sont pas mentionnés. Afin de tenir compte des différentes expériences de discrimination et des situations de départ correspondantes, nous recommandons une formulation plus neutre.) |
Eingereicht: | 13.04.2023, 18:10 |